LETTERATURA
FRANCESE I
(XVI-XVIII SECOLO)
Appunti di Monica Zappaterra
Università degli Studi di Pavia
Facoltà: Studi umanistici
Corso di Laurea in Lingue e culture moderne
Esame: Letteratura francese (XVI-XVIII secolo)
Docente: Serena Codena
A.A. 2021/2022
Tesi
online
A P P U N T I
TesionlineXVI e siècl e
Re naissance française
= siècle de contradictions et instabilités au niveau culturel, social
● découverte nouveau m onde (élargissem ent des horizons)
● Réform e de Luther
● Copernic (c’est la T erre qui bouge, pas le soleil)
● position de l’hom m e dans l’univers change; nouvelle conception (HUM ANISM E)
● le savoir devient plus accessible (im prim erie)
● prise de Constantinople (savoir des anciens arrive en Europe; intérêt pour literature
grecque)
= siècle partagé en deux parties
Cadre historique
1)Guerres d’Italie:
période de conquête, d'expansion
- situation F rance plus favorable; elle veut se constituer com m e nation;
roi regarde à l’étranger et veut élargir le territoire
- Italie très riche du p.d.v . culturel, m ais n’a pas un pouvoir central (faible du
p.d.v . politique; fragm entation politique)
- les F rançais entrent en contact avec une culture dif férente, ce qui a des
répercussions énorm es du p.d.v . littéraire, culturel (culture italienne arrive en
F rance grâce aux guerres, m ais grâce aux échanges com m erciaux aussi
2) Guerres de religion:
internes à la F rance,
- guerres civiles entre protestants et catholiques (rendent la F rance faible)
Calvin isme se répand, ses bases:
- VO CA T IO N = Dieu confie à chacun un rôle, une tâche à accom plir
- G RACE
1- PREDEST INA T IO N = chacun est prédestiné au salut ou à la dam nation; l’hom m e a
besoin de la grâce de Dieu qui a déjà décidé son destin,il ne peut pas arriver à se
sauver tout seul
Pour concilier le libre arbitre avec l’idée de prédestination = il y a des signes visibles
● Si quelqu’un m ène une vie de m érite, c’est un signe qu’il est prédestiné à la grâce
● Si quelqu’un fait des m auvais choix, conduit une vie déréglée, il est condam né
( = la vie de chacun est le reflet de la grâce)
La plupart d’eux étaient bougeois (partie active, qui avait un rôle)
Ils sont persécutés (huguenots); ils organisent des partis m ilitaires pour répondre aux
persécutions
Catherine de M édicis (“protagoniste” de ces guerres): reine catholique, essaie de faire
coexister le deux religions (l’état est fort, si uni). T outefois ses fils ne sont pas d’accord.
Charles IX, à l’occasion des noces entre Henri de Navarre (protestant) et M arguerite de
V alois (soeur de Louis XIII, catholique), il donne l’ordre de m assacrer tous les protestants
qui étaient venus pour célébrer ( = n u it d e Sain t-Barth élemy)
Charles IX m eurt et lui succède Henri III (roi faible, il m eurt en bataille); Henri de Navarre
accède au trône. Il est protestant, m ais il doit abjurer , devient catholique (“Paris vaut bien
une m esse”) et devient Henri IV .
Pour pacifier le royaum e il ém et l’EDIT DE NANT ES
- la religion en F rance est le catholicism e m ais, il y a liberté de culte
- il donne aux protestants des placesforts pour se protéger
Humanisme
se base sur l'étude de l'antiquité et l'intérêt pour les anciens (hum aniste: celui qui se
consacre aux textes sacrés, aux textes classiques, des anciens)
Récupération des textes (m éthode philologique): les anciens deviennent m odèles culturels,
de la perfection. O n sort du m oyen-âge (Dieu au centre; période des universités)
Pendant la Renaissance:
- l'hom m e prend sa place au centre de la création
- l'expansion littéraire et culturelle française (centres du savoir , culturels)
- fondation des collèges (savoir laïque, pas savoir religieux des universités)
- culture = langue. Au niveau linguistique on essaie de form uler une gram m aire, des
règles de la langue et un dictionnaire
- Les F rançais découvrent une langue déjà littéraire (Pétrarque, Boccace); on utilisait
le latin dans textes of ficiels
2Poésie
Poètes dépendent encore de leur protecteur
Sentim ent de supériorité (donner l'im m ortalité à travers leur poésie; ils savent utilisés
la culture et la langue)
C. MARO T .
● Secrétaire de M arguerite de Navarre
● Sa poésie m arque le passage entre la poésie de m oyenne âge et celle hum aniste
(caractères de la poésie m édiévale qui se fondent avec ceux de la poésie hum aniste)
● Il introduit le so n n et de Pétrarque en F rance
● Style sim ple, riche de sarcasm e, d'ironie
● Il invente aussi le b laso n (poèm e descriptif, liste des beautés d'une dam e, de l’etre
aim é; à la base de ce poèm e se trouve l'exaltation de l'idéal fém inin); il prend en
considération m êm e une seule partie du corps de la fem m e parce que chaque partie
reflète sa beauté et son hom m e angélique; chaque partie du corps est le sym bole de
quelque chose qui est dans l'am e
● il invente aussi le co n tre b laso n : parodique, ironique où il prend en considération les
parties, les aspects péjoratifs de la fem m e (des détails physiques; surtout des
poésies érotiques)
Ecole lyonnaise
L yon
= capitale culturelle, centre de la culture
= près de l'italie (influence du développem ent culturel à im itation de la culture italienne)
= position stratégique, échanges com m erciaux avec l'italie
= capitale des im prim eries (idées circulent très facilem ent, surtout dans les cycles des
intellectuels qui ont accès au savoir)
C’est à lyon qui se constitue un groupe de poètes ( = école lyonnaise)
Maurice Scève
- un de m em bres de ce groupe: qui
- écrit des blasons
- im ite le style de Pétrarque
Il écrit le prem ier “Canzoniere” français “Délie”
● en décasyllabe
● quête, recherche, m ais d’un am our platonique (il n’arrive pas à conquérir la fem m e
aim ée, m ais sa souf france produit l'oeuvre = consolation artistique)
3